Nous considérons avec la plus grande attention la manière dont vous percevez et ressentez les soins que nous prodiguons.
Les techniques d’anesthésie locale ont considérablement progressé. Il est ainsi possible de vous soigner sans aucune douleur. Cependant, les anesthésies locales n’ont pas d’effet sur l’esprit… Si vous avez peur du dentiste ou des soins dentaires, l’anesthésie dentaire n’est pas suffisante pour vous soigner en toute quiétude.
C’est pourquoi des techniques de sédation consciente, plus ou moins poussées, ont été développées pour vous placer dans un état de relaxation, voir de sommeil, propice à ce que vos soins se déroulent dans les meilleures conditions. Peurs et anxiétés s’évanouissent !
Il existe différents niveaux de sédation consciente :
Il s’agit de respirer un gaz, le protoxyde d’azote. Le protoxyde d’azote est employé depuis de nombreuses années en milieu hospitalier et son utilisation a été autorisée pour les cabinets dentaires en 2010.
Il s’agit de prendre, au sein du cabinet, un mélanges de comprimés relaxants et soporifiques.
Dans ce cas, un anesthésiste se joint à l’équipe soignante et injecte des molécules aux pouvoirs relaxants et sédatifs très puissants.
Les techniques de sédation consciente s’adressent bien entendu aux patients inquiets ou phobiques. Si vous avez peur des soins dentaires, peur des dentistes, la sédation peut vous aider. L’objectif est de pouvoir vous soigner sans douleur, sans peur, sans appréhension. Cette page et les suivantes s’adressent à celles et ceux qui recherchent des informations sur la peur du dentiste et les possibilités de traitement qui existent pour les personnes concernées.
Les techniques de sédation consciente permettent aussi à des patients très occupés ou résidant à l’étranger de réaliser l’ensemble de leurs soins en une seule longue séance. La notion du temps est en effet totalement modifiée pendant la sédation : les heures paraissent des minutes…
Nous attirons votre attention sur le fait que tout traitement médical ou prise de médicaments présente des contre-indications relatives ou absolues et n’est de fait pas indiqué pour tous. Une analyse de votre état de santé lors de votre première consultation permettra de définir s’il est possible de vous sédater selon un ou plusieurs des protocoles décrits.
Page mise à jour le 21 février 2017